La poire d’angoisse
Shooting fatal en Ukraine
L’actualité ukrainienne est tellement sidérante ces jours-ci que nous sommes obligés d’y consacrer un survol à part. Au royaume de l’acteur Zelensky, les frontières du réel et de la fiction se confondent de plus en plus.
Portes ouvertes à l’asile de fous
Les fous alliés se réunissent constamment dans leurs asiles et leurs lazarets: OTAN, G7, Davos, Bruxelles. Cette semaine encore, ils étaient de sortie, et ce n’était pas triste. En attendant qu’on apporte les camisoles, consignons quelques scènes dans notre chronique des temps.
Fous alliés
Le G7 s’est donc réuni en Bavière en ce début d’été. On se rapproche, comme nous l’avions annoncé en mai, de Berchtesgaden et le bunker de Berlin est au bout de l’étape. Les chefs des sept Etats les plus imbus d’eux-mêmes ont chaussé leurs chapeaux en fer blanc et agité leurs grelots. La bouffonnerie fut stratosphérique.
Quand la reddition devient «évacuation», ou le viol des mots
La reddition du bataillon Azov à Marioupol a donné lieu en Occident à un déploiement de logomachie d’une ampleur rarement vue. Ou comment transformer une défaite cuisante en quasi-victoire par la seule manipulation verbale…
Rachat de Twitter: la religion woke tremble sur ses bases
Pourquoi la caste libérale assimile-t-elle le rachat de Twitter par Elon Musk à de la haute trahison?
Boutcha, le message des brassards blancs
Lorsqu’un massacre est ainsi médiatisé, il est vain de se demander «que s’est-il vraiment passé?», la seule question pertinente est «à quoi ça sert?». De ce point de vue, le massacre de Boutcha s’inscrit dans une longue et morne suite de crimes instrumentalisés.
Qui nous mène à la guerre mondiale?
C’est un véritable bal des va-t-en-guerre de salon. Ils pensent peut-être que leurs paroles ne sont que du vent, que personne ne les prendra au sérieux. Ou bien, peut-être, le veulent-ils vraiment, ce feu d’artifice ultime qui résoudrait tout. A quoi cela peut-il ressembler vu d’еn face?
Laboratoires US en Ukraine: entre propagande et réalité
L’existence de laboratoires de recherche biologique financés par les USA aux portes de la Russie a été l’une des justifications invoquées pour l’invasion de l’Ukraine. Cela a suffi pour assimiler l’argument à de la propagande russe et refermer le dossier. Etait-ce bien avisé?
Comment on a tiré l’Ours de sa tanière
Passant hier encore pour la zone la plus chaotique et la plus corrompue de l’Europe, l’Ukraine est devenue le bastion héroïque de toutes «nos» valeurs. Mais si l’on jette un coup d’œil en coulisses, ce malheureux pays apparaît comme un pion cyniquement sacrifié sur l’échiquier géopolitique par ceux-là mêmes qui s’apitoient sur son sort. Tout est dramatisé, «storyfié», canalisé vers la plus grande tragédie possible. Etrangement, le *spin doctor* de la présidence ukrainienne l’avait lui-même annoncé avec trois ans d’avance.