«J’avais réfléchi à la question et interviewé pas mal d’écrivains de sexe féminin, et non d’“écrivaines”, et il y avait une grande différence entre celles qui souhaitent la féminisation du mot, et qui sont toutes de mauvaises plumes, et celles que j’aime bien, qui veulent que l’on dise “écrivains” pour être dans la même catégorie que Proust. J’ai mis en pratique un système dans mes critiques de livres : je propose qu’on dise “écrivaine” quand l’auteur est nul et “écrivain” quand la dame a du talent.»
— Frédéric Beigbeder , Causeur n°7, novembre 2013.