« Raskolnikov rêvait que tout l’univers était sacrifié à un terrible fléau, inouï, inconnu, venu en Europe des profondeurs de l’Asie. “Alors apparurent de nouveaux bacilles, des êtres microscopiques qui s’implantèrent dans le corps de l’homme. Mais ces êtres étaient des esprits doués d’intelligence et de volonté. Ceux qui les avaient absorbés devenaient aussitôt démoniaques et déments. Mais jamais les hommes ne s’étaient crus aussi sages et sûrs de la vérité que croyaient l’être ces pestiférés… Des villages, des villes, des populations entières, prises par la contagion, tombaient en démence. Tous les hommes étaient plongés dans l’angoisse et ne se comprenaient plus ; chacun croyait posséder la vérité et, regardant les autres, souffrait, se frappait la poitrine, pleurait et se tordait les mains. On ne savait qui, ni comment juger; on ne distinguait plus le mal du bien… C’était la fin de tous et de tout”. Pour nous autres Russes, […]
Détruire pour détruire
La France avait commencé par livrer en Ukraine quelques armes antichars, elle a fini par envoyer des missiles de croisière et promettre des troupes que l’Ukraine n’a même pas réclamées. Le chef de l’armée britannique rempile comme conseiller militaire à Kiev. L’Allemagne avec ses généraux comploteurs planifie la destruction de cibles civiles russes. En un mot: les Européens s’emploient à provoquer une guerre qu’ils n’ont pas les moyens de mener. D’où leur vient cette passion suicidaire?