«J’ai quelquefois ce sentiment bizarre que les choses qui se passent dans le monde autour de nous sont en quelque sorte les reflets de choses qui se passent dans les profondeurs de notre propre esprit. C’est comme si le monde se calmait lorsqu’on se calme soi-même, et vice-versa. Pourtant, il serait absurde d’imaginer qu’on puisse contrôler le cours des événements de la sorte car cela impliquerait l’idée que nous sommes seuls réels et que tout le reste ne sont que les fruits de notre pensée. Mais cela me convainc de plus en plus qu’il y a un univers à l’intérieur de nous, qui contient Hitler et toutes les formes de folie humaine en même temps que l’amour et la beauté.» Alan Watts, lettre à ses parents (1941). Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact! J’y vais! Merci! Nous vous envoyons de ce pas un message de confirmation!
Détruire pour détruire
La France avait commencé par livrer en Ukraine quelques armes antichars, elle a fini par envoyer des missiles de croisière et promettre des troupes que l’Ukraine n’a même pas réclamées. Le chef de l’armée britannique rempile comme conseiller militaire à Kiev. L’Allemagne avec ses généraux comploteurs planifie la destruction de cibles civiles russes. En un mot: les Européens s’emploient à provoquer une guerre qu’ils n’ont pas les moyens de mener. D’où leur vient cette passion suicidaire?