La vague d’horreur soulevée — à juste titre — par la mise à mort de George Floyd est fortement «racialisée» et monte les sociétés contre elles-mêmes. Cela nous aide à oublier cette réalité qui recouvre tout le champ de bataille: que la violence policière n’a pas de couleur!
Denis Pouchiline: «Nos enfants n’ont pas connu d’autre monde que la guerre»
Comment vit-on dans l’Ukraine en guerre? Nos médias de grand chemin «couvrent» abondamment la zone pro-occidentale, mais ne s’aventurent guère dans l’autre camp: le Donbass. Ils censurent même les reporters comme Anne-Laure Bonnel, Alina Lipp ou Graham Phillips qui documentent la terrible réalité que vivent ces régions où, depuis dix ans, les civils sont directement ciblés par les forces de Kiev. Guy Mettan s’y est rendu et en a rapporté un entretien avec un responsable de premier plan.