Les climatosceptiques ont mauvaise presse. Il n’est pas question ici de dire que ce sont eux qui auraient raison. Cette crise est réelle, mais fait-on vraiment le nécessaire pour la résoudre, ou se contente-t-on de l’exploiter?
Ne pas se taire!
En se rapprochant à tout vent de l’Union européenne, les Suisses semblent absolument vouloir être les derniers à grimper sur le «Titanic» avant qu’on tire l’échelle. Savent-ils tout ce qu’implique ce ticket? Il ne semble pas. En a-t-on débattu? Non. C’est donc le moment de parler, fût-ce dans le désert. Dire ce que ce pays pourrait faire pour sa survie plutôt que pour sa dissolution.

