Un imbroglio politico-juridico-financier helvéto-germanique dont on pourrait tirer une série à rallonges. Nous en livrons, en exclusivité pour les lecteurs d’Antipresse, un bref synopsis, où l’on découvre que les grandes banques entretiennent des services de renseignement internes auxquels les limiers fédéraux n’ont rien à refuser.
La modernité en devenir
L’avantage de cette passe brutale et ahurissante que nous vivons, c’est qu’elle étale la réalité toute nue devant nos yeux. On est obligé de voir ce qu’on voit. Or ce qu’on voit semble surtout donner raison à Hannah Arendt.