Pendant que nous nous trouvons encore dans l’œil du cyclone, offrons-nous le luxe de survoler l’Europe de l’été 2024 dans la nacelle du Diable tirée par quatre sorcières nues sur leurs balais. Et demandons-nous ce que nous avons fait pour mériter un tel spectacle.
La modernité en devenir
L’avantage de cette passe brutale et ahurissante que nous vivons, c’est qu’elle étale la réalité toute nue devant nos yeux. On est obligé de voir ce qu’on voit. Or ce qu’on voit semble surtout donner raison à Hannah Arendt.