« Les hommes que le peuple devrait élire pour le représenter sont trop occupés pour assumer ce travail. Le politicien, en revanche, n’attend que ça. Il est la pestilence des temps modernes. Ce qu’il nous faudrait essayer de faire, ce serait d’aborder la politique à un niveau aussi local que possible. Garder les politiciens assez près pour pouvoir les rosser. Les villageois qui s’assemblaient au pied de l’arbre à palabres pouvaient également pendre leurs politiques à ce même arbre. Il est terrible de voir combien peu de politiciens sont pendus de nos jours. » — G. K. Chesterton, 1921. Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact! J’y vais! Merci! Nous vous envoyons de ce pas un message de confirmation!
D’une étrange curiosité pour la culture du voisin
Une lecture de «L’islam et l’ordre du monde» d’Yves Lepesqueur.