On ne peut que féliciter la presse et les médias, en particulier officiels, pour leur rôle dans le fonctionnement d’ensemble du régime occidental. Heureusement qu’ils existent. On ose à peine imaginer ce qui se passerait s’ils n’existaient pas: toutes ces questions auxquelles les dirigeants seraient alors obligés de répondre parce qu’elles leur seraient posées…
Comment nommer l’innommable?
L’évocation d’une restauration du nazisme dans les pays baltes dans un débat de la Radio suisse romande m’a valu de vives attaques dans pratiquement tous les médias suisses de langue française. Il est intéressant de se demander pourquoi.