« Le gouvernement représentatif sans la liberté de la presse est le pire de tous : mieux vaudrait le divan de Constantinople. […] Supposez, ce qui n’est pas impossible, qu’un ministre parvienne à corrompre les Chambres législatives ; ces deux énormes machines broieront tout dans leur mouvement, attirant sous leurs roues et vos enfants et vos fortunes. Et ne pensez pas qu’il faille un ministère de génie pour s’emparer ainsi des Chambres : il ne faut que le silence de la presse et la corruption que ce silence amène. » — François-René de Chateaubriand, «De l’abolition de la censure», cité par Ph. Grasset, dedefensa.org. Observe. Analyse. Intervient.L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact! J’y vais! Merci! Nous vous envoyons de ce pas un message de confirmation!
Le compagnon de Colombo
Un conte du Nouvel Age.