Le trentième anniversaire de la chute du Mur de Berlin approche. L’heure des bilans a sonné. La NZZ prend les devants en ouvrant ses colonnes à Sonja Margolina, publiciste née à Moscou et formée en Allemagne réunifiée. Sous le titre «1989 a été pour l’Occident une victoire que l’on peine aujourd’hui à distinguer d’une défaite», la journaliste fait part de sa désillusion. «Après 30 ans d’un partenariat visant la modernisation, il faut constater que ce pays (la Russie) n’est pas devenu plus démocratique, mais plus autoritaire et agressif (…). Ceux qui ont cru que la Russie aurait pu – le temps aidant – « s’occidentaliser » et que l’on serait parvenu à une sorte de convergence, se sont bien trompés. » L’invitée de la NZZ feint d’ignorer que la décennie des années 90, dite de modernisation à l’occidentale, a été particulièrement sombre pour les Russes. Avec un PIB en chute […]
NUCLÉAIRE • La tête des Français sur le billot
Il y a deux choses qu’on ne prête pas: sa brosse à dents et sa bombe atomique. Le Macron®, malgré son beau frac, semble ignorer ce principe de savoir-vivre.