Vous ne serez pas les seuls à «vivre sans rien» et à être heureux (ou pas). Les satrapes et les vizirs de la nouvelle normalité vous montrent déjà l’exemple d’un dépouillement complet. Mais peut-être ne l’avez-vous pas remarqué?
L’anomie vue depuis un car postal
Jadis, il y avait les «sauvageons» dans les banlieues. Aujourd’hui, la sauvagerie s’invite même dans le cœur du rêve alpestre: les cars postaux suisses. Les chauffeurs sont en première ligne face à la déglingue — et n’ont souvent personne pour les soutenir. L’un d’eux a accepté de témoigner.

