Le 2 avril dernier, une explosion a fait voler en éclats les vitrines d’un café de St-Pétersbourg. Une quarantaine de personnes ont été blessées, dont un enfant. Un homme est mort, dépecé. C’était l’un des chroniqueurs de guerre les plus célèbres de Russie. L’opération reposait sur un parfait cheval de Troie.
La vraie crise: comment l’escamoter?
Il est bien connu que les autorités aiment faire diversion. On amuse ainsi les populations, et pendant ce temps on fait ce qu’on a envie de faire sans être dérangé.