Le propriétaire de Telegram, à ce que l’on sait, est encore en France. L’oiseau sans nid vit désormais avec un fil à la patte. Nous ne savons toujours pas pourquoi il s’est de lui-même posé dans le piège qu’on lui tendait. Mais nous commençons à comprendre comment il pense. Les services compétents aussi, sans doute.
Refuser l’État?
Est-il encore permis, en Suisse, de vouloir se tenir à distance de l’État? Il semblerait bien que non. Le rapprochement subliminal avec le négationnisme est déjà un signe de criminalisation.