Livre d’Or

(…) Ces bouleversements, déceptions et trahisons de nos valeurs ont participé à mon réveil brutal et m’ont définitivement décidé de faire quelque chose à ma très modeste échelle.

Mon abonnement à l’Antipresse est le résultat de cette révolte et de ce refus: il est maintenant un de mes outils de compréhension du monde et d’ouverture au monde, de transmission, de pensée, et de manière plus personnelle, de reconnexion avec la langue française écrite. Je sais, d’après vos éditoriaux, que quelques lecteurs vous trouvent à l’occasion très sombres de ton, ne laissant entrouvrir que peu de solutions à nos très nombreux problèmes actuels. Pour ma part, je suis si satisfait de pouvoir trouver une communauté de journalistes professionnels qui nous montrent le monde tel qu’il est, et cela est déjà une gageure de nos jours vu que nous avons tous besoin d’une grande dose salvatrice de réalité. Mais vous le faites aussi avec soin et talent, compassion et équilibre, et parfois même avec une dose bienvenue de subtilité et d’humour. J’adore ce sentiment sous-jacent que je ressens à vous lire d’invitation au dialogue intérieur, de promesse de concorde future, quand bien même vague et utopique, entre nous et ce que nous pourrions faire du monde.

• Xavier de Galway, Irlande, 11.11.2024.

Je me suis à abonnée après avoir écouté votre briefing hebdomadaire sur YouTube.
Ce qui m’y a décidée, c’est l’intelligence et la pertinence de vos propos, votre vue de haut sur l’actualité, et aussi la correction de votre langue!
Il me semble que la langue dont nous usons reflète notre âme (…).
Je ne regrette pas du tout de m’être abonnée! J’attends la livraison du dimanche matin avec impatience…

• Isabelle B.

Merci aussi pour le soutien infiniment précieux que vous m’êtes depuis ces presque deux ans, tant par l’Antipresse chaque semaine que par vos briefings inspirants. Je vous compte parmi mes amis les plus chers. 
Que Dieu vous garde!
+ Isabelle (de la Montagnette, à Tarascon en Provence✨)

Bravo pour le numéro 467 et votre abécédaire savoureux de lucidité, de recul et d’humour, et pour l’emouvant et profond texte d’Éric Werner. Toujours une bouffée d’air pour le corps, l’âme et l’esprit, de vous lire chaque semaine. Merci.

— @clamang2408

L’Antipresse est une bulle d’air salvatrice pour certains membres de ma famille et moi-même. L’avenir de l’information du public appartient aux médias alternatifs comme le vôtre, ce n’est ni Russell Brand ni Joe Rogan qui me contrediraient.

— Ch.-L. Laming, 21.11.2024

Merci pour cette magnifique lettre toujours et encore qui parle à notre cerveau et surtout à notre cœur et nous élève. Tout est harmonie, équilibre et douceur dans votre lettre et pourtant ce qui est dit est sombre….
C’est mon élixir de vie en tout cas… merci infiniment à vous et vos écrivains journalistes.

• isagrafou@orange.fr, 24.11.2024

Vous êtes LA lumière de raison et de sagesse dans cette nuit de bêtise, d’incompétence, de cupidité et de violence, dont nous avons tant besoin… et encore plus dans les mois à venir.
+ Erick Rinner, message direct, 7 décembre 2024.

J’ai toujours cru être une savante écervelée. Douée en maths, mais ne comprenant pas grand-chose au monde qui m’entoure. Mes parents ne rataient aucun journal de 20 heures, faut-il voir là la source de mes jugements à l’emporte-pièce?

Puis l’Antipresse a glissé un orteil dans ma vie… A la faveur de cette grande mascarade que nous vivons depuis 2 ans, et grâce à un ami qui trouvait un réel soulagement en vous lisant. Je le comprends maintenant que je sors de ma gangue de zombie. Vos armes sont imparables: intelligence et humour!

• Nathalie

Lire l’Antipresse peut paraître un acte de masochisme pour certains, mais pour moi c’est un acte de clarification, de vigilance, qui me sert à rester en colère, pour ne pas m’habituer à cela. Et c’est j’espère, ce qui nous sauvera de cette folie. Merci à vous et tous vos auteurs de nous maintenir éveillés dans ce cauchemar.

• Jose Oyarzabal, 17.11.2024.

L’Antipresse, c’est un peu comme la cuisine, les ingrédients changent mais l’art de les conjuguer (les ingrédients) assure toujours un résultat étonnant. Certains sont spécialisés pour la malbouffe et d’autres pour l’art culinaire. Il en est ainsi…
— @gilcourrin974