Les trois languides non-affaires de la mi-été, ou comment les médias de grand chemin de Suisse romande font une fois de plus la preuve de leur inutilité.
Observe. Analyse. Intervient.
L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact!
Les trois languides non-affaires de la mi-été, ou comment les médias de grand chemin de Suisse romande font une fois de plus la preuve de leur inutilité.
L’Antipresse ne dort jamais. Restons en contact!
Nous avons pris l’habitude de pointer du doigt les dirigeants et leurs idéologues, de jeter des fléchettes sur leur tronche épinglée au mur. Et où cela nous a-t-il menés? Nulle part. On ne comprend rien à ce monde en le réduisant aux individus et à leurs passions. Voici, exemples en main, une manière de voir au-delà de leurs travers et de leurs faiblesses.
Nous avons vu que l’État profond, décrié aux États-Unis, avait pris sa position de repli en Europe. Les événements actuels de Roumanie nous permettent de situer plus précisément son épicentre.
Jusqu’il y a peu, la Corée du Nord était considérée comme le trou du monde. En Russie, pourtant, on lui trouve de plus en plus de charmes.
Est-il encore permis, en Suisse, de vouloir se tenir à distance de l’État? Il semblerait bien que non. Le rapprochement subliminal avec le négationnisme est déjà un signe de criminalisation.
Quand on parle de ce qui se passe aujourd’hui en Europe, plusieurs phénomènes se croisent et par là même aussi, bien souvent, s’interpénètrent et se conditionnent mutuellement. Pour autant, il n’est pas interdit de les considérer chacun pour lui-même.
Quand un pays subit des dizaines d’attaques portant sur des installations de haute sécurité et leur personnel, que ces attaques sont coordonnées, exécutées à l’arme de guerre et bénéficient de renseignements de pointe, comment appelle-t-on cela? Des faits divers, bien sûr…
La démocratie est une idole politique : un bagage sommaire en sciences politiques suffit pour s’apercevoir qu’elle n’existe pas, mais il est très mal vu de ne pas s’en réclamer. C’est, à peu près, le thème d’une série d’articles dont vous lisez le premier.
Dans le livre qu’il vient de consacrer à Jean-Jacques Rousseau, Alain de Benoist s’attaque à une question cruciale: le turbulent philosophe de Genève est-il un homme des Lumières ou un homme des contre-Lumières?
Quand on suit l’actualité au quotidien, l’impression générale qui s’en dégage est celle d’un dérèglement croissant. Les anciennes règles n’ont plus cours, et l’on ne peut pas non plus dire que de nouvelles règles soient venues les remplacer, à plus forte raison encore lesquelles. On est donc dans le dérèglement — les règles qui se défont. Et donc tout part en petits morceaux.
Les premiers jours d’un nouveau pape sont toujours enveloppés de perplexité, d’espérance et de mystère. Athanase Zaïtsev nous livre ici une perspective catholique traditionnelle sur cette élection qui a surpris beaucoup de monde.
Il y a parfois de ces conversations téléphoniques qui vous projettent dans un film de Costa-Gavras… Sauf qu’elles parlent de la réalité vécue aujourd’hui même en Europe. Témoin ce coup de fil avec Pierre Jovanovic.
L’Église catholique romaine, en particulier sous le pontificat de François, s’est engagée en faveur de l’immigration de masse avec ardeur — mais à rebours, très probablement, d’une forte majorité de ses propres fidèles. Jusqu’où poussera-t-elle son «idéalisme pénitentiel»?