Les semaines se suivent et se ressemblent dans leur crapoteuse confluence vers le tragigrotesque. Comment décrire l’essence de ce tourbillon sans recourir à la littérature et au grand cinéma? Avec son film sur les fêtes de Philippe d’Orléans, le regretté Bertrand Tavernier nous a légué une clef de lecture.
La sauvagerie civilisée ou la guerre de 70
Flaubert avait déjà tout dit. Notre époque était déjà en germe dans la sienne. Et donc la sienne était déjà plus ou moins la nôtre. Encore faut-il savoir lire dans son époque, interpréter les signes des temps.

