Les semaines se suivent et se ressemblent dans leur crapoteuse confluence vers le tragigrotesque. Comment décrire l’essence de ce tourbillon sans recourir à la littérature et au grand cinéma? Avec son film sur les fêtes de Philippe d’Orléans, le regretté Bertrand Tavernier nous a légué une clef de lecture.
La guerre d’Ukraine n’aura pas de fin
Elle ne fera que se diluer dans le paysage. Jusqu’à l’implosion de ses commanditaires. Ou au bouquet final…