L’objectif du Sénat français est parfaitement assumé. Il s’agit pour lui de démontrer le risque institutionnel créé par le floutage des barrières entre chose publique et privée dans la gestion de la sécurité élyséenne. Dans cette perspective, on pourrait suggérer quelques questions utiles à poser au garde du corps présidentiel lors de l’audition à laquelle il sera bien forcé de se rendre le 19 septembre prochain.
La Suisse au XXIe siècle: vers le sabordage diplomatique?
Suisse, CIO, WEF… Quand ceux qui se prétendaient au-dessus des conflits s’abaissent à choisir un camp, ils courent le risque d’y perdre leur raison d’être.