Essayez de prononcer «Dr. Scholzs Wasserstoffwunderwaffe» (l’arme fatale à hydrogène du Dr Scholz), et vous comprendrez par vous-même la complexité du piège où leur bêtise rutilante a enfermé les dirigeants européens.
Le roman, dernier refuge des espions?
A notre époque, écrire des livres sur l’espionnage est la seule manière d’être espion: il n’y en a pas d’autre. Car s’il est quelque chose qui ressort du roman posthume de John le Carré, c’est bien que l’espionnage aujourd’hui est mort.