C’est à cette question que tente de répondre un roman révoltant ou hilarant — selon vos préjugés moraux et politiques — qui vient de paraître. Pour la première fois, selon son auteur, un être entièrement vide et néanmoins maléfique siège sur le trône de France. Si le président français est bien vivant à l’heure où nous écrivons, les arguments en faveur de son élimination physique commencent à circuler. Remettant à la page un débat vieux comme l’Antiquité: la question du tyrannicide.
L’union du trône et de l’autel
Projetons-nous un demi-siècle en arrière: l’Église officielle aurait-elle osé alors défendre l’homosexualité et condamner sa criminalisation? Non, bien sûr. Ce n’était pas dans l’air du temps ni prescrit par l’État. Or les Églises officielles sont très sensibles à l’air du temps. Ainsi qu’aux prescriptions de l’État…