Pour cette chronique de la censure ordinaire, je cède la plume à notre correspondant régulier Michel de Rougemont, qui met le doigt sur une conséquence cocasse, et néanmoins «lourde», de l’idéologie dominante. Les entreprises pourront-elles encore vendre leur marchandise sans faire la preuve de leur «conformité» à la bien-pensance climato-racialo-diversitaire? (Slobodan Despot)
Fin de parcours
Quand on suit l’actualité au quotidien, l’impression générale qui s’en dégage est celle d’un dérèglement croissant. Les anciennes règles n’ont plus cours, et l’on ne peut pas non plus dire que de nouvelles règles soient venues les remplacer, à plus forte raison encore lesquelles. On est donc dans le dérèglement — les règles qui se défont. Et donc tout part en petits morceaux.