L’affaire Crypto AG, qui ébranle actuellement les institutions helvétiques, mérite une attention particulière, même au-delà des frontières suisses. En réalité, elle concerne le monde entier dans la mesure où la plupart des pays y sont impliqués, soit comme épieurs, soit comme épiés.
Refuser l’État?
Est-il encore permis, en Suisse, de vouloir se tenir à distance de l’État? Il semblerait bien que non. Le rapprochement subliminal avec le négationnisme est déjà un signe de criminalisation.