Elle a rempli de rêves et d’images nos têtes d’enfants. Elle règne sur notre imaginaire depuis bientôt cent ans. Nous n’osons pas davantage l’admettre dans toute sa déchéance que nous ne voulons voir notre mère nue. A moins, peut-être, de reconnaître aussi dans la profondeur de cette Amérique déglinguée les éclats de courage et de grandeur qui continuent de scintiller…
Les machines nous écraseront-elles?
Les poètes sont les plus grands visionnaires. Voici bientôt un siècle, David Herbert Lawrence nous mettait en garde contre la robotisation.