La civilisation technologique fait de nous des êtres diminués. Cela se ressent même dans les statistiques du quotient intellectuel, sans parler du reste. Avant que nous devenions des cerveaux à grosses lunettes sur pattes d’araignée, il existe encore des moyens de sauvegarder en notre for intérieur la plénitude humaine. La grande littérature est l’un d’eux.
Fin de parcours
Quand on suit l’actualité au quotidien, l’impression générale qui s’en dégage est celle d’un dérèglement croissant. Les anciennes règles n’ont plus cours, et l’on ne peut pas non plus dire que de nouvelles règles soient venues les remplacer, à plus forte raison encore lesquelles. On est donc dans le dérèglement — les règles qui se défont. Et donc tout part en petits morceaux.