Quand une compétition a pour but de faire toujours «plus vite, plus haut, plus fort», faut-il s’émouvoir du dopage ou changer la devise? Si dopés il y a, ne parlent-ils que le russe? Et pourquoi engage-t-on des sous-traitants de la CIA pour défendre la moralité du sport?
«Tweet n° 1», ou la langue en apnée
Tel est le paradoxe que soulève ce livre: à l’ère de la supra-rationalité mathématique des algorithmes et des machines, où est le refuge de la conscience?