La mémoire collective efface souvent les instants initiaux d’un grand événement historique. J’ai donc voulu consigner, pour la chronique des temps, les premiers jours du grand conflit Israël-Iran. Mais je me suis aperçu au fil de l’écriture que ces premiers jours portaient déjà en germe l’aperçu de la fin.
La dîme, la taille, le tribut… et quoi encore?
Les Suisses n’ont jamais rampé aux pieds de Hitler comme ils le font aujourd’hui aux pieds des Américains. En plus, cela risque d’être contre-productif.