Nous avons pris l’habitude de pointer du doigt les dirigeants et leurs idéologues, de jeter des fléchettes sur leur tronche épinglée au mur. Et où cela nous a-t-il menés? Nulle part. On ne comprend rien à ce monde en le réduisant aux individus et à leurs passions. Voici, exemples en main, une manière de voir au-delà de leurs travers et de leurs faiblesses.
Le poison mortel: droit à mourir ou droit à tuer?
Désormais, en France, les «médecins» seront autorisés à tuer une personne sur la simple expression orale d’un désir de mourir. Mais l’expression du désir de mourir ne fait-elle pas partie de phases de la vie? Quand on dit: «je veux mourir», cela ne veut-il pas pas dire plutôt: «ne m’abandonne pas?»