Il faut se méfier du solstice d’été. Il favorise les hallucinations et les coups de sang, que l’on soit à Paris ou à Moscou.
Le piège de la compassion
Nous avons appris à être socialement compatissants et intérieurement inertes comme du verre. Notre déchéance toute entière se lit dans ce chaud-froid. Si nous voulons renaître, ne serait-il pas nécessaire, pour commencer, d’abolir cette duplicité?

