Lorsque Kawabata reçut le prix Nobel, il déclara que son œuvre cherchait à embellir la mort et à rechercher l’harmonie entre l’homme, la nature et le vide. Une ambition poétique et philosophique atteinte par son œuvre.
La dîme, la taille, le tribut… et quoi encore?
Les Suisses n’ont jamais rampé aux pieds de Hitler comme ils le font aujourd’hui aux pieds des Américains. En plus, cela risque d’être contre-productif.