Un ex-président populaire interdit de réélection, une compagnie pétrolière nationale démantelée, des pertes dépassant de loin les pots de vin qu’on voulait combattre… N’est-ce pas un peu cher payé pour l’opération «mains propres» d’un jeune juge étrangement zélé?
Refuser l’État?
Est-il encore permis, en Suisse, de vouloir se tenir à distance de l’État? Il semblerait bien que non. Le rapprochement subliminal avec le négationnisme est déjà un signe de criminalisation.