Un ex-président populaire interdit de réélection, une compagnie pétrolière nationale démantelée, des pertes dépassant de loin les pots de vin qu’on voulait combattre… N’est-ce pas un peu cher payé pour l’opération «mains propres» d’un jeune juge étrangement zélé?
Le poison mortel: droit à mourir ou droit à tuer?
Désormais, en France, les «médecins» seront autorisés à tuer une personne sur la simple expression orale d’un désir de mourir. Mais l’expression du désir de mourir ne fait-elle pas partie de phases de la vie? Quand on dit: «je veux mourir», cela ne veut-il pas pas dire plutôt: «ne m’abandonne pas?»