Quelques jours seulement avant sa mort, j’ai lu un article au sujet d’un phénomène bizarre. Des psychiatres s’étaient aperçus que divers patients, qui ne se connaissaient évidemment pas, rencontraient un même personnage dans leurs cauchemars. Le portrait-robot qu’ils donnaient de leur visiteur dessinait un visage rond, à la fois banal et singulier, à la fois bénin et profondément inquiétant. Les hommes de science sont interloqués. J’ai pensé: voici un sujet pour David Lynch.
La dîme, la taille, le tribut… et quoi encore?
Les Suisses n’ont jamais rampé aux pieds de Hitler comme ils le font aujourd’hui aux pieds des Américains. En plus, cela risque d’être contre-productif.