Quel rapport entre l’éternel génie du Mal de la culture populaire française et l’accord de capitulation imposé par Trump aux Européens? Aucun, probablement. A moins qu’on lève un voile sur les coulisses profondes des temps de prodiges que nous vivons. Celles qui se situent à la lisière du réél et du rêve.
Ce que la Guerre froide nous cachait
En ce temps-là, Éric Werner était antisoviétique, voire atlantiste. Comme Raymond Aron, comme Camus. Et, dans leur époque, ils avaient raison: la liberté était bien «ici». Comment auraient-il pu deviner la vilaine plaisanterie que l’histoire allait leur jouer?