Quel rapport entre la confession de l’ex-chancelière allemande sur les accords de Minsk et les nuages de guerre qui s’accumulent sur le sud de la Serbie et le Kosovo? Ce rapport est pourtant essentiel si l’on veut saisir la duplicité ontologique de la politique occidentale. Un peu d’histoire et un peu de mythologie nous aideront à l’éclairer.
Ne pas se taire!
En se rapprochant à tout vent de l’Union européenne, les Suisses semblent absolument vouloir être les derniers à grimper sur le «Titanic» avant qu’on tire l’échelle. Savent-ils tout ce qu’implique ce ticket? Il ne semble pas. En a-t-on débattu? Non. C’est donc le moment de parler, fût-ce dans le désert. Dire ce que ce pays pourrait faire pour sa survie plutôt que pour sa dissolution.

