Il faudrait pouvoir s’élever au-dessus des continents, plus haut encore que le plafond des satellites, pour commencer de se faire une idée d’ensemble de ce qui se passe autour de nous. Il faudrait changer de plan temporel, également: passer du temps quotidien au temps historique, qui comprime et élague les péripéties pour faire apparaître des enchaînements là où nous ne voyons que du déchaînement.
La dîme, la taille, le tribut… et quoi encore?
Les Suisses n’ont jamais rampé aux pieds de Hitler comme ils le font aujourd’hui aux pieds des Américains. En plus, cela risque d’être contre-productif.