Une fête au pays de Cocagne

Notre monde, comme l’écrit C. S. Lewis, passe sous l’ombre d’une aile ténébreuse, nos croyances séculaires s’effondrent et l’incertain est notre seule certitude. Pourtant nous perdurons et chaque jour apporte ses joies. Où allons-nous encore puiser nos réserves de lumière? Au gré d’un bref détour par ma terre natale, j’ai compris pourquoi nous ne serions jamais découragés de vivre. Que cette digression très personnelle soit donc lue comme un manifeste anti-déclin, anti-suicide, anti-désespoir, anti-EXIT.
CONFIDENTIEL
Les abonnés reçoivent cet article dans leur lettre hebdomadaire.
SE CONNECTER S’ABONNER

Ne lisez pas ce message!

Les sites internet sont compliqués, lents, pleins d’obstacles.
Les lettres sont personnelles et sûres.
Les choses essentielles ne sont pas placardées sur les murs: elles sont dites dans des lettres.
C’est pourquoi l’Antipresse est une lettre-magazine adressée à ses abonnés.
Vous vous abonnez une fois et vous n’aurez plus jamais besoin de voir cette fenêtre, ni même ce site.

Pour cela, il vous suffit de vous abonner ici (ou de vous connecter si vous êtes déjà dans le cercle).

Merci ! Un message de confirmation va vous parvenir.