Vladimir Poutine l’avait proclamé, tout l’appareil d’État l’avait répété: le pont de Kertch reliant la Crimée au continent était une ligne rouge pour la Russie. Lorsque, le 8 octobre au matin, une des voies routières du pont a été défoncée par un camion piégé, mettant le feu à un train d’hydrocarbures qui passait au même moment, cette ligne rouge a été officiellement franchie.
Gifles, coups de lame et autres égratignures
Il y a quelques semaines, les médias en Suisse se faisaient l’écho d’une scène de la vie militaire dans ce pays: des militaires hommes avaient été frappés et giflés par leur supérieur hiérarchique, en l’occurrence une femme. En guise de sanction, la dame s’était vue retirer son «commandement», avant d’en obtenir un autre à un autre endroit. On l’avait donc déplacée.

