Pour cette chronique de la censure ordinaire, je cède la plume à notre correspondant régulier Michel de Rougemont, qui met le doigt sur une conséquence cocasse, et néanmoins «lourde», de l’idéologie dominante. Les entreprises pourront-elles encore vendre leur marchandise sans faire la preuve de leur «conformité» à la bien-pensance climato-racialo-diversitaire? (Slobodan Despot)
La Chaîne du Malheur compte sur vous!
Au temps de leur tradition humanitaire, les Suisses contribuaient généreusement à la Chaîne du Bonheur. Depuis, le vent a changé et l’on préfère désormais alimenter la discorde. Nous lançons donc l’idée de la Chaîne du malheur, organisation vindicative suisse pour l’aide aux conflits. Et, comme auparavant, la télévision de service public y contribue avec ses inénarrables animateurs.