Notre correspondant photographe nous propose cette semaine une chronique très personnelle, mais dont le thème est universel et central. Nous passons ce cri du cœur comme une incitation à réfléchir à la réalité des méthodes «progressistes» par lesquelles on nous propose de simplifier la mort et la vie. Il ne s’agit pas de la condamnation de l’acte d’un homme, mais plutôt d’un acte d’opposition radical à l’esprit du temps.
La vraie crise: comment l’escamoter?
Il est bien connu que les autorités aiment faire diversion. On amuse ainsi les populations, et pendant ce temps on fait ce qu’on a envie de faire sans être dérangé.