Pour David Graeber, les jobs à la con (à ne pas confondre avec les «jobs de merde», qui eux ont leur utilité) représentent une part appréciable de l’ensemble des emplois actuels. L’enquête qu’il a menée propose un panorama cruellement réaliste du monde du travail au début du XXIe siècle.
La guerre d’Ukraine n’aura pas de fin
Elle ne fera que se diluer dans le paysage. Jusqu’à l’implosion de ses commanditaires. Ou au bouquet final…