Entre mars et début avril, l’Antipresse part sillonner le continent eurasien. Pour retrouver la sérénité absolue de l’espace sibérien d’abord — et se plonger d’autant plus abruptement ensuite dans le réacteur du nouveau monde: l’empire chinois.
Des anges dans un ciel vide
Tout ce qui peut nous arriver désormais, d’autres l’ont déjà vécu, médité et transmis. Encore faut-il être disposé à capter leur message. En déployant toutes nos antennes, qui ne sont pas seulement celles de la raison, nous pourrions découvrir que les espaces déserts d’un temps sans espérance sont étrangement peuplés.