Comme prévu, les élections américaines ont viré à l’empoignade. Mais en ce fatidique 3 novembre, j’étais surtout affairé à faire démarrer un poële russe. Voir les convulsions de l’Occident depuis une isba perdue dans le grand Nord permet de relativiser utilement les choses.
L’ère Trump, ou la fin de la Modernité
Les événements de ces derniers jours nous enseignent que la frontière entre réalisme politique et dérangement mental est parfois flottante. Ce qui est établi, en tout cas, c’est que les Européens, à la différence des Américains, n’ont pas les moyens de leur folie.

