Le journal de Coronafoirus, livre de bord de la dystopie covidéologique, approche de son premier anniversaire. En faisant le bilan de la plus étrange année de nos vies, j’ai essayé d’en comprendre le fil rouge. Tiendrait-il dans ce projet qui se mord la queue: des hommes qui essaieraient d’abolir l’humain en eux?
Ce que la Guerre froide nous cachait
En ce temps-là, Éric Werner était antisoviétique, voire atlantiste. Comme Raymond Aron, comme Camus. Et, dans leur époque, ils avaient raison: la liberté était bien «ici». Comment auraient-il pu deviner la vilaine plaisanterie que l’histoire allait leur jouer?