Et si le «monde d’avant» ne revenait jamais? Ce ne sera pas Mad Max, nous dit Piero San Giorgio, mais ce sera un monde où nous risquons bien d’être abandonnés à nous-mêmes par des États qui ont fait la preuve de leur incompétence, voire de leur inutilité.
La dîme, la taille, le tribut… et quoi encore?
Les Suisses n’ont jamais rampé aux pieds de Hitler comme ils le font aujourd’hui aux pieds des Américains. En plus, cela risque d’être contre-productif.