Depuis longtemps, l’Occident a abandonné ses vieux, ses fous, ses handicapés, ses enfants, ceux qui dérangent. L’individu est isolé et dissocié de lui-même. Ce que nous vivons n’est que le prolongement de notre fermeture de cœur.
Se réapproprier le passé
A mesure que les années passent, «nos actes nous suivent», notre vie passée nous revisite et nous hante, et ce d’autant plus que nous ne pouvons plus rien y changer. Y a-t-il un remède à cette impuissance?