Cette semaine, la cantine virtuelle de trois milliards d’humains appelée «chez Zuck» a fermé pour la première fois. Ce n’est qu’une des implosions de la saison. Chez nous, les apparatchiks font crouler le système tout seuls, comme des grands. Cependant que le vieux Coronafoirus, fatigué, se retire et que nos autorités se mettent en quatre pour le convaincre de rester encore un tout petit peu…
Des anges dans un ciel vide
Tout ce qui peut nous arriver désormais, d’autres l’ont déjà vécu, médité et transmis. Encore faut-il être disposé à capter leur message. En déployant toutes nos antennes, qui ne sont pas seulement celles de la raison, nous pourrions découvrir que les espaces déserts d’un temps sans espérance sont étrangement peuplés.