Ernst Jünger considère les livres comme des «biens propres», voulant dire par là qu’ils font partie de notre propre vie et qu’à ce titre nous devons les défendre avec détermination, exactement comme nous le faisons quand notre propre vie est menacée.
La paille, la poutre et autres formes de déni
Nous vivons une époque de dérives, certaines graves et irréversibles. Mais les détenteurs de la parole publique trouvent mille manières de ne pas en parler — voire, au pire, de les justifier. Ils feraient bien, peut-être, de relire l’Évangile…