Le problème, avec l’approche occidentale de la Russie, n’est pas tant dans le manque de volonté de comprendre que dans l’excès de volonté de ne rien savoir. Et si l’on essayait de s’ouvrir l’esprit? Si l’on mettait fin au seul vrai conflit de civilisation?
La Suisse au XXIe siècle: vers le sabordage diplomatique?
Suisse, CIO, WEF… Quand ceux qui se prétendaient au-dessus des conflits s’abaissent à choisir un camp, ils courent le risque d’y perdre leur raison d’être.